Texte reçu par l'APMH du 18/09/2018 :
J’ai fait le choix de l’Homéopathie il y a plus de 40 ans suite à l’échec de l’Allopathie pour mon fils qui enchaînait otites/otites malgré des traitements lourds allant jusqu’à la double paracentèse…
Une relation me parlait d’Homéopathie et d’un médecin reconnu…
L’Homéopathie venait à bout de ce problème….
A partir de ce moment-là, l’HOMEOPATHIE UNICISTE s’est imposée naturellement.
Et cela devint tellement évident pour toute ma famille que je ne me posais plus le problème du choix…. Même lorsqu’un « LUPUS », maladie réputée gravissime, m’atteignait et nécessitait un arrêt de travail de quelques mois… Le médecin du Travail me conseillait, alors, de consulter un grand spécialiste à LYON... Je nourrissais une peur justifiée vis-à-vis de l’ALLOPATHIE et des « standards thérapeutiques » en perspective … !!!
Le choix s’imposait donc naturellement, je faisais confiance à mon médecin Homéopathe qui me tirait de là….Pour moi, l’HOMEOPATHIE n’a jamais été un « COMPLEMENT» mais toujours « une PREMIERE INTENTION », « la SEULE INTENTION », à contrario des consignes du Conseil de l’Ordre des Médecins - lesquels sont formatés par le lobby pharmaceutique…
La réelle difficulté est de trouver un véritable HOMEOPATHE UNICISTE … qui décrypte les symptômes du patient dans sa totalité physique, psychique, spirituelle… Un travail titanesque de recherches pour trouver le médicament qui correspond à cette entité…
Marcelle B
De l'auteur : Marcelle B