Texte reçu par l'APMH du 18/09/2018 :
Quant à moi, c’est sans exagération que je peux dire que l’Homéopathie m’a sauvé la vie !
En 1981 un médecin homéopathe m’a reçu en consultation une heure durant.
Je ne dormais plus, ne mangeais plus et ne buvais que de l’eau …
Après un échange très humain, il m’a prescrit un traitement de fond avec doses le dimanche, puis des granules avant les repas …
Trois semaines après, je lui ai écrit mes réactions à son traitement. Il m’a répondu :
« Si vous vous accrochez au traitement, vous ne le regretterez pas ». Je n’allais surtout pas décrocher, car je ressentais un très léger mieux pour commencer, une sensation positive et naturelle, par rapport à ce que j’avais vécu auparavant … J’ai donc persisté, en lui faisant confiance ; mon système nerveux allait se rééquilibrer … Il m’a fallu patienter, mais je sentais que c’était du solide et naturel …
Au bout d’un an ou un peu plus, j’ai pu reprendre une activité professionnelle - puis faire enfin ma vie !
J’ai donc acquis le réflexe homéo et, au moindre symptôme, ce sont toujours les granules qui me secourent ! Je compulse mes livres et/ou j’appelle mon médecin homéopathe actuel.
Pendant ma grossesse - excellente indication pour l’homéo - j’ai suivi « l’eugénisme prénatal ». Ensuite, j’ai élevé ma fille dans la pratique homéopathique en première intention. Elle-même fait suivre ses trois enfants par un pédiatre homéopathe : ils se portent à merveille !
Je saisis cette opportunité pour remercier la vie pour le cadeau qu’elle nous fait avec la médecine homéopathique. MERCI également à tous ceux qui la soutiennent.
Bien amicalement,
Marie-Christine