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Parution du 30/06/2014 pour la lettre n° 72
Le Docteur Bernard VIAL, médecin homéopathe, révèle l'inconscient dans le sang et livre son expérience de la MÉMOIRE DES PROTEINES. Après la description du protéion, organe de communication, d'information, il explique la mémoire sans le cerveau, sans l'ADN cellulaire, mais avec l'albumine du sérum. Il fait correspondre cette mémoire aux dilutions homéopathiques et nous prouve que l'homéopathie est plus "scientifique" que la médecine officielle allopathique.
Cette étude a pour objet un mythe : notre capacité à nous souvenir grâce à des structures biochimiques qui gardent les évènements imprimés, stockés et codés.
Quelle est la structure qui permet la fonction de la mémoire ?
Habituellement, c’est le cerveau qui est tenu pour responsable, et ce sont les neurologues qui s’expriment sur les troubles mnésiques. Récemment les immunologistes sont intervenus avec les lymphocytes à mémoire et le système de reconnaissance antigène-anticorps. Enfin, la “bombe” de la mémoire de l’eau a éclaté avec les travaux contestés du Docteur Benveniste, de l’INSERM.
Pour un médecin homéopathe, l’énigme des hautes dilutions (9, 12, 15, 18, 24, 30 CH) qui agissent sur des faits pathologiques anciens devrait normalement poser avec acuité les problèmes de mémoire. Pour les allergies, pour les vaccinations, il y a sans cesse des phénomènes de reconnaissance qui placent la mémoire hors du cerveau.
Déjà bien des arguments scientifiques mettent les médecins sur la piste de la mémoire des protéines, les allergènes, les anticorps, les neuromédiateurs sont de nature protidique, mais les mythes sont tenaces : les capacités du cerveau-ordinateur demeurent aussi vastes que l’ignorance des mécanismes intimes des neurones.
Cette méthode de profils protéiques informatisés existe en France depuis 40 ans. Mon expérience personnelle porte sur la lecture de 20 000 cas en consultation de médecine générale. L’ordinateur du C. E. I. A. (Centre Européen d’Informatique et d’Automation) détient “en mémoire” plus de 2 millions de courbes (ou diagrammes informatisés). Lorsqu’on possède une telle expérience clinique, lorsque la pratique quotidienne permet de confronter l’examen clinique et une image évocatrice de la structure sensible (en quelque sorte un radar des émotions), on acquiert rapidement la conviction que les neurologues se trompent. Ils admettent les circuits connectés d’intégration corticale comme des microprocesseurs hautement perfectionnés ; feront-ils le pas pour délaisser les explications, basées sur la physique, de la mémoire neuronale, et chercher des supports différents ?
Peut-être hésitent-ils à le faire parce que rien ne leur est proposé en échange ?
Une alternative fondée sur une observation scientifique leur est offerte désormais avec ce mémoire, dans lequel j'émets l’hypothèse suivante : les macromolécules protéiques, et en particulier l’ALBUMINE, sont le support biochimique de la mémoire.
I - LES PROFILS PROTEIQUES INFORMATISES DU SERUM SANGUIN
Le profil protéique établi avec le protidogramme par relargage au sulfate d’ammonium identifie 4 catégories de protéines, comme l'électrophorèse : Albumine, globulines (alpha, bêta, gamma), et utilise une trentaine de tests de floculation (Cetavlon, Burstein, Takata, etc...)
Coupe du PROTEION
Le principe de base de ces profils est celui qui admet les variations simultanées et corrélées de tous les constituants giobuliniques. C’est à partir de l’observation clinique et biologique de 20 000 cas. Le rôle de cette architecture protéique est de déclencher les premières observations d'une BIOCHIMIE QUANTIQUE : 500 protéines plasmatiques, c'est beaucoup, mais le graphique C.E.I.A. en donne une image fiable avec des certitudes et des inconnues.
II - LES STRUCTURES PROTEIQUES CAPABLES DE SENSIBILITE ET DE MEMORISATION
N’oublions pas que Protée, divinité de la mer, change sans cesse de forme. Les protéines sont des constructions d’atomes de cinq éléments : le carbone, l’oxygène, l’hydrogène, l’azote, le soufre. Le carbone des protéines végétales devient noir à la chaleur (charbon de bois), celui des protéines animales devient blanc (œuf, lait, etc...). Les lecteurs des journaux scientifiques ont vu ces « sculptures » représentant les molécules d’ADN en hélice, ces échafaudages de boules blanches, rouges et noires, véritables squelettes articulés où les boules de carbone sont les plus nombreuses.
1° LE CARBONE
Le carbone, support de la forme, substrat matériel, élément d’assimilation ; le carbone varie du gaz carbonique (le gaz le plus volatile) au diamant (le corps le plus dur) en adoptant toutes les structures des êtres vivants. Pour les structures protéiniques, par exemple, cela se traduit par des constantes d’affinité et des constantes d’association.
Le carbone prend sa forme en fonction des influences extérieures, ces messages qui vont guider l’organisation moléculaire.
2° LES ACIDES AMINES
Structure carbonée simple, l’acide aminé doit aboutir à une image en miroir de l’extériorité perçue. L’acceptation de ces influences ne se fait pas sans une relativisation. Si, par une adaptation de type analogique, les acides aminés sont le miroir des situations qui ont été reconnues (identiques à des situations déjà vécues), ils deviennent un instrument de la prise de distance vis-à-vis de la réalité décevante et des menaces.
De plus, les acides aminés, précurseurs des amines cérébrales par décarboxylation, sont les chaînons indispensables de l’intellectualisation. On comprend alors que les équilibres nécessaires à la vie ont induit l’activité intellectuelle comme rempart obligatoire aux débordements affectifs.
3° LES PEPTIDES
Deux étapes possibles dans la “psychologie” des protéines ; l’incorporation des évènements affectifs et le triage des imprégnations.
Il existe une troisième étape avec les peptides : devant une menace, les acides aminés s’organisent en structures mono et polypeptidiques afin de l’assimiler et de l’intégrer pour l’avenir.
Après “digestion” des informations et des “idées” extérieures, les peptides désamorcent les émotions en les transformant en “idées” personnelles.
4° L'ALBUMINE
Quatrième étape, capitale, se produisant dans le foie, l’albumine devient le support protéiforme de la mémoire. Un album répétant en série des codes d’acides aminés institue une grille de lecture où se croisent l’ordre extérieur et l’ordre intérieur. Nous étudierons plus loin à partir de quels éléments est synthétisée dans le foie cette albumine qui introduit la chronologie.
Cette protéine, apparemment peu connue, souvent considérée comme un simple support physique de la pression oncotique, est à la fois un parechoc affectif et le garant d’une analyse logique.
Notre hypothèse personnelle (la Protéionique) considère les molécules d’albumine comme des “miniaturisations” des globulines pour une mise en mémoire. L’albumine mémorise tout, tout ce qui franchit le système porte (seul réseau vasculaire perméable aux protéines). Le foie met ainsi à la disposition du sérum sanguin une expérience, une “bibliothèque” immense de toutes les émotions : avec 4 000 ou 5 000 gènes, les ADN des hépatocytes paraissent capables d’enregistrer toutes les influences extracellulaires.
Les sérines (albumines du sérum sanguin) font office de mémoire maternelle rassurante : en se référant sans cesse à elle, l’homme distancie facilement de nouveaux affects. Cette intellectualisation, sur fond de refoulement des affects troublants, évite les remises en question, évite la souffrance des non-dits, peut maintenir en contemplation… les sens en attente.
L’hypersérine va de pair avec un certain infantilisme et un détachement des choses matérielles.
L’hyposérine laisse la place aux pulsions, puis à la maturation et enfin à l’autonomisation.
L’hyposérine est la soumission à l’instant, la liberté par distanciation des règles, l’absence de question.
En interprétant les profils protéiques du C.E.I.A., il est habituel de détecter une association et un rapprochement sur la courbe des sérines avec chaque fraction globulinique : cela traduit un renforcement des affects par une intellectualisation d’appoint, par une prise de conscience aigüe du conflit.
- Sérines et alpha 1 : colère
- Sérines et alpha 2 : injustice personnelle
- Sérines et bêta : orgueil
- Sérines et gamma : révolte
L’interprétation des profils protéiques du C.E.I.A. doit toujours être faite en fonction de la clinique et des conflits affectifs.
III - MÉMOIRE ET SIMILITUDE
La loi de similitude en homéopathie guide les recherches vers des remèdes qui ont la même structure que l’organe récepteur.
La mémoire, en effet, semble réactivée par des évènements identiques : des faits reconnus comme semblables font appel à une représentation du passé, et notamment à une représentation des phases d’apprentissage ayant conduit à la conclusion que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Un afflux de mauvais souvenirs comparables à une situation présente, et les conflits affectifs sont remémorés, entraînant une inhibition de l’action.
Inversement, un remède homéopathique “semblable” à un “état protéique” fixé et miniaturisé (microfilmé, archivé) va permettre une objectivation, une réactualisation au niveau de la conscience et une nouvelle distanciation.
Face à un évènement protéique classé dans l’album des souvenirs, le message thérapeutique doit être dilué-dynamisé. Bien qu’on ne connaisse pas encore avec précision les transformations produites au cours des manipulations, le concept de remède actif de protéine à protéine a constitué pour nous un fil d’Ariane dans l’élaboration de l’hypothèse de la mémoire des protéines.
Les basses dilutions les plus courantes, 4CH, 5CH, sont administrées dans les états pathologiques qui reflètent un grand désordre.
Le langage servant à traduire l’état du malade est mal maîtrisé. Les évènements somatiques échappent au contrôle intellectuel et sont vécus comme une injustice, d'où les sentiments de colère, d'orgueil blessé, de révolte. Cela semble relever d’un phénomène de la mémoire. En effet :
— soit l’évènement affectif à l’origine du trouble est encore trop récent pour avoir pu être analysé, puis distancié
— soit la personnalité du malade (enfant, par exemple) est trop peu structurée pour qu’il puisse y avoir intellectualisation. Le patient compare la situation qui est sienne à celles qui sont décrites par les codes et les normes en vigueur, mais son expérience dans le domaine affectif et conflictuel est trop limitée pour qu’il puisse émettre un jugement personnel, au confluent des codes, de ses désirs et de son vécu. Ii ne peut que faire appel à des lois normatives apprises et non comprises, non assimilées. Ces dilutions pourraient correspondre aux pathologies sériques de type hyper alpha 2, hyper gamma.
Avec les dilutions 6 CH, 7CH, on arrive à une conscience de soi embryonnaire (6CH) ou triomphaliste (7CH), du triomphalisme de l’enfant en phase d’apprentissage qui, parce qu’il se découvre certaines possibilités de maîtrise, croit pouvoir tout manipuler.
Il s’agit ici d’éliminer des repères normatifs que l’on croit ridicules, puisque des expériences individuelles ont été intégrées, qui sont en décalage avec les vérités générales. Or, la mémoire a des difficultés, pour cette personnalité en voie de structuration, à se dépendre des codes-tuteurs ; il y a donc opposition entre le vécu particulier et le collectif, et sentiment de déroute (6CH).
A la dilution 7CH correspond une tentative d’enrayer, de nier l’affect au profit de l’intellect : les opérations de raisonnement, de distanciation et de prévision apparaissent comme la possibilité d’une prise de pouvoir sur le monde. L’administration de cette dilution se révèle parfois assez délicate à cause, justement, de cette volonté de “court-circuiter” les sentiments. A ce stade peuvent surgir des problèmes neuropsychiatriques débutants, parce que la maîtrise intellectuelle que s’attribue le malade est en vérité chancelante (globulines bêta augmentées). Cette volonté de puissance, cet orgueil fondés sur un sentiment d’infériorité, font passer le malade, soudainement et incessamment, du complexe d’infériorité au complexe de supériorité.
La dilution 9CH est une dilution charnière qui correspond à un stade d’hyper individuation, comparable au passage de l’adolescence à l’âge adulte. L’individu a accumulé assez d’expériences et de souvenirs pour “faire la part des choses” : il a compris, puis relativisé les codes, il s’est partiellement soustrait aux influences extérieures ; il peut porter un jugement sur ce qu’il vit et sur la façon dont il le vit.
Cependant, ce jugement est très instable :
- d’une part il doute de ses sentiments qu’il sait “normalisés” par les composantes socioculturelles qui ont participé à l’édification de sa personnalité ; partant de là, il doute également de la “sincérité” des sentiments de son entourage (DOUTE) ;
-d’autre part il se trouve dans la nécessité de créer une espèce “d’intelligence artificielle” qui lui permette une lecture cohérente du monde, intégrant à la fois les données collectives et les données personnelles, de façon à ce que ce doute encombrant soit, à son tour, relativisé (DIFFICULTES D’ INTELLECTUALISATION).
Comme il ne dispose plus de repères solides, ce double effort de la mémoire débouche sur la dispersion comportementale et somatique, la remise en question permanente de ses propres affects (DISPERSION, INSTABILITE).
Nous sommes ici dans la phase du subaigu, où les cicatrices affectives commencent à se durcir et à s’enkyster parce que, justement, dans cette dispersion, les échecs et les fiascos deviennent les points de repère qui serviront à la mise en place d’une grille d’interprétation.
9CH a sans doute, pour cette raison, un impact sur toutes les globulines affectées, dans ces circonstances, d’une variabilité incessante.
Avec les dilutions 12CH et 15CH, on aborde les problèmes d’hyper intellectualisation.
Le sujet tient à sa disposition une mémoire aiguisée de ses affects, des conditions dans lesquelles ils se sont manifestés, il s’objective, en quelque sorte, à ses propres yeux.
Mais, par ailleurs, les conflits affectifs sont fixés et cicatriciels. C’est-à-dire que l’analyse scrupuleuse de son vécu le conduit à élaborer une vision du monde figée, fondée avant tout sur les mauvais souvenirs ; on constate donc une certaine tendance à adopter des attitudes défensives ou de verrouillage.
Ainsi, avec 12CH, il y a une incapacité à accepter comme telles de nouvelles données ; celles-ci sont immédiatement assimilées à des expériences anciennes et négatives, ce qui conduit à l’inhibition de l’action.
Une 12 CH permet alors d’ouvrir un système clos, de briser un cercle vicieux, et de faire réapparaître la capacité à différencier.
Au-delà (15CH), le caractère insatisfaisant de sa relation à soi et aux autres est sans cesse mis en avant. Il s’agit d’une revivification permanente de la mémoire des échecs et des blocages. La solution est recherchée dans une activité frénétique de l’intellect, qui voudrait se substituer aux sentiments pour préserver une structure affective meurtrie. Bien que le sujet ait pleine conscience de cette tentative de substitution, il finit par se trouver en constant décalage avec son entourage, dont il oublie de comprendre l’affectivité plus “spontanée”. 15CH peut alors représenter l’élément permettant une réorientation d’une vision du monde en train de se constituer en système.
3OCH : les cicatrices sont à ce point indurées dans la mémoire que le sujet vit dans une dissociation absolue. Pour oublier ses passions destructrices, il a fait barrage d’une lucidité impitoyable pour lui-même. Il a, en outre, expérimenté les limites de nombreux systèmes, et s’il les manipule par jeu, il est incapable de s’investir affectivement dans l’un d’eux.
Sa désinvolture intellectuelle, son attitude de spectateur désabusé, voire cynique, cachent en réalité des scléroses. Il ne peut plus ni évoluer, ni s’adapter, ayant perdu toute souplesse.
Le 3OCH va s’adresser à une attitude en retrait, suicidaire ; celui qui se sent hors du jeu affectif se plaint en définitive que sa lucidité et son expérience de maîtrise des instincts laissent malgré tout passer quelques crises paroxystiques.
Il n'y a pas d’autre solution que le recours au 3OCH pour remonter aux origines du conflit primordial et réactiver une vie affective figée depuis longtemps.
Tous les remèdes sollicitent les mécanismes de la mémoire : ils deviennent les intermédiaires (RES—MEDIA, la chose intermédiaire, le médiateur) entre une “vision du monde” infléchie par des expériences affectives plus ou moins lointaines, et le souvenir de ces expériences douloureuses, à l’origine de la plupart des pathologies. Tout se passe comme s’ils intercédaient auprès du passé en faveur du présent de l’individu.
On peut appeler “Loi de la Mémoire” le phénomène suivant : un remède est actif dans la mesure où il vise des conflits affectifs pour tenter de les résoudre a postériori.
Dans la revue scientifique "La Recherche" de juin 1998, Peter Fischer, directeur médical du Royal London Homeopathic Hospital donne cette extraordinaire définition d'un remède : " L'action du médicament homéopathique s'expliquerait par une rétro action informant l'organisme sur la nature de la maladie".
L'homéopathie est totalement adaptée à un futur quantique. Elle correspond en effet à une PHYSIOLOGIE QUANTIQUE qui bouleverse la médecine et met en cause 4 idées reçues :
Le cerveau n'est qu'un écran à pixels, écran d'affichage conscient
Le sang ne circule pas
C'est l'info qui circule dans le PROTEION, organe liquide colloïdal de 150 000 km de longueur, limité anatomiquement par la paroi des vaisseaux. Sa structure protéique est connue. Sa fonction dans l'information (captation, expertise, intégration, mémorisation) est de mieux en mieux explorée grâce à l'aide des ordinateurs.
La physiologie cellulaire n'entre pas dans le futur quantique : la cellule est anti-information (cellule du pénitencier, cellule du monastère, cellule du parti, cellule terroriste). L'ADN et l'ARN sont des protéines nucléaires vectrices de l'information héréditaire : le génome est conservateur.
ESPRIT QUANTIQUE
Ce qui est pris : réflexion de l’inconscient protéique sanguin sur l’écran à cristaux liquides du cerveau (or, argent, platine, nickel dans la paroi des neurones pyramidaux).
Ce qui est compris : schématisation, symbolisation : protides peptides neuronaux
Ce qui est appris : miniaturisation de messages protéiques dans l’ALBUMINE SERIQUE
MEMOIRE QUANTIQUE
Mémoire absolue (un joueur d’échec peut retenir 100 000 coups)
Mémoire visuelle, photographique
Mémoire affective, émotionnelle, amoureuse
« La mémoire est la mémoire des désirs »
FUTUR QUANTIQUE
L’anticipation
L’imagination des quantités de faits passés et présents réfléchis sur l’écran de conscience
La prédiction
Mais préparation de l’INFO par l’inscription, miniaturisation et encodage dans l’albumine
Si le PROTEION dans chaque être humain représente la quantité maximale d’INFO, le FUTUR QUANTIQUE garantit l’universalité et l’immortalité de l’INFO (déjà transmise de protéion à protéion avant la mort).
L’INCONSCIENT PROTEIQUE QUANTIQUE a plusieurs longueurs d’avance sur le présent. Il résonne à distance et dans le temps parce que tous les protéions peuvent avoir des SIMILITUDES (une biochimie quantique en résonnance et en inter relation).
Il n’y a rien de magique dans le quantique.