Spécialité de l'article : Généraliste
Parution du 20/07/2023 pour la lettre n° 108
La médecine est-elle une science ? Depuis un peu plus de 3 ans la question me taraude. Car, je connais bien la science pour l’avoir pratiquée au plus haut niveau pendant près de 40 ans. Et, ce qui s’est passé ces trois dernières années me démontre sans aucune ambiguïté que la médecine d’aujourd’hui n’a vraiment rien de scientifique. Par contre, elle est très clairement d’une très haute technicité car totalement hypnotisée par la technologie. En effet, il convient de ne pas oublier que sans la science, il ne peut y avoir de technologie. Mais, la science peut très bien exister en l’absence de toute technologie. C’est pour cette raison précise qu’il convient de ne pas mélanger les deux concepts puisque la science est par définition humaine, alors que la technologie s’avère très souvent inhumaine.
Or, nous assistons aujourd’hui à un délire technologique qui se revendique être de nature scientifique, alors qu’il est clairement inhumain et donc non scientifique par essence. L’humanité saura-t-elle sortir de cette ornière redoutable ? Car, c’est bien sa survie en tant qu’espèce qui est en jeu. Peu de personnes s’en rendent compte, car une autre facette de notre monde actuel est l’utilisation systématique du mensonge et de la désinformation à tous les niveaux. Or, si la technologie permet de mentir effrontément et avec une apparence de crédibilité, la science, elle est totalement incapable de mentir. Car, depuis Galilée, toute théorie, aussi belle soit-elle, est abandonnée sans état d’âme à partir du moment où il n’existe ne serait-ce qu’une seule contradiction avec l’expérience, c’est-à-dire le réel.
Dans ce petit billet, je vais tenter de démontrer que la médecine est plus un art qu’une science. Un premier indice nous est fourni par le fait que si la science est très limitée, en raison de cette exigence de coller à l’expérience, l’art est, pour sa part, illimité. Pour un artiste rien n’est impossible. Et, cela devrait être de même pour tout médecin. Car, la vie est capable de produire des êtres extrêmement sophistiqués capables de tout, à condition de bien prendre en compte toute la biodiversité et de ne pas se limiter uniquement à l’espèce humaine. Un deuxième indice nous est fourni par la science lorsqu’on la réduit à sa plus simple expression. Disons que parmi toutes les notions scientifiques, une seule permet de décrire l’univers dans sa formulation la plus simple et donc la plus fondamentale. Je veux parler ici de la notion de spin, appelé aussi « moment cinétique intrinsèque ». L’idée est ici que tout phénomène peut se ramener en dernière analyse à un jeu entre des entités pouvant être dénombrées au moyen de nombres entiers. D’où le terme de « physique quantique » puisque dans la langue grecque, le mot « physis » fait référence à la Nature et que dans la langue latine, le mot « quantum » signifie « combien ». Et, cette physique quantique nous apprend que chaque entité peut pivoter sur elle-même pour acquérir un spin [1]. Bref, la physique quantique clame qu’il n’existe que deux entités fondamentales pour décrire tout phénomène naturel. Les fermions, d’un côté, qui se caractérisent par le fait que leur spin ne peut prendre que des valeurs demi-entières non nulles : ½, 3/2, 5/2, … avec comme facteur d’échelle la constante réduite de Planck ħ = h/2π, ayant une valeur proche de 10⁻³⁴ J·s. La deuxième possibilité est d’avoir affaire à des bosons, qui ont la particularité de n’avoir que des spins entiers : 0, 1, 2, 3,… avec le même facteur d’échelle que pour les fermions. Pour ceux qui sont rebutés par le langage de la science, on peut dire que derrière la notion de « fermions » se trouve l’idée de particules matérielles dures et impénétrables. D’où une vision du monde comme un jeu de boules de billards qui ne cessent de s’entrechoquer sans jamais pouvoir disparaître. En revanche, derrière la notion de « bosons » se trouve l’idée d’ondes immatérielles qui peuvent se mélanger et se superposer sans aucune limite.
Pour simplifier encore plus le propos, on peut schématiser cela en disant qu’il n’existe que deux choses essentielles : la matière d’un côté et la lumière d’un autre côté. Donc, si la médecine veut se revendiquer de la science elle a le choix de soigner soit avec de la matière (allopathie), soit avec de la lumière (homéopathie). Ceux qui ignorent encore que l’homéopathie est de nature scientifique pourront se référer à mes publications ou mes ouvrages de vulgarisation [2]. Comme chacun pourra aisément le constater, la médecine moderne est totalement polarisée sur le côté matériel des choses aussi bien pour l’allopathie que pour l’homéopathie puisque, dans ce dernier cas, il faut que la lumière soit emprisonnée dans une matière qui peut être de l’eau, de l’alcool ou du sucre. Mais la question se pose aussi de savoir si l’on ne pourrait pas utiliser directement des vibrations lumineuses et pourquoi pas sonores pour faire de la médecine. C’est à ce point précis, bien sûr, que la médecine peut devenir aussi un art grâce à l’emploi de couleurs ou de sons. De manière plus générale on pourrait utiliser des vibrations qui se caractérisent par une fréquence f, une amplitude A et une phase. La fréquence f permet de connaître l’énergie E mise en jeu, grâce au facteur d’échelle discuté plus haut E = h·f. L’amplitude permet de régler la quantité totale de bosons employés, tandis que la phase permet de renforcer ou d’annihiler l’effet global des bosons. Un autre avantage de s’intéresser à la lumière est que via les équations de Maxwell, on apprend que l’univers est doté de six dimensions : quatre de nature spatiale (gauche/droite ; devant/derrière ; haut/bas ; petit/grand) et deux de nature temporelle (temps des horloges et temps de la conscience) [3]. Par contraste, si l’on considère uniquement la matière, on trouve un univers à quatre dimensions : trois de nature spatiale (gauche/droite ; devant/derrière ; haut/bas) et une de nature temporelle (temps des horloges). Et, dans cet univers fait de matière, chaque entité est dotée d’une masse m ou de manière équivalente d’une énergie E = m·c², via une deuxième constante d’échelle c, qui possède la dimension d’une vitesse (c ≈ 300 000 km·s⁻¹). La dimension d’échelle spatiale (petit/grand) et la dimension temporelle de conscience, n’apparaissent que si l’on considère, en plus des particules matérielles, des vibrations. Par exemple, l’invariance d’échelle des ondes sonores est clairement démontrée par la notion d’octave, où deux notes dont le rapport de fréquences est égal à 2, génère la même sensation musicale. La même invariance d’échelle se manifeste pour la dimension de conscience par l’idée qu’un même individu peut se réincarner sous différentes formes matérielles au cours de plusieurs cycles naissance/mort.
De toutes ces considérations extrêmement fondamentales est née l’idée que si une même énergie E peut s’exprimer sous la forme d’une masse m (E = m·c²) ou d’une fréquence f (E = h·f), on pourrait, de manière audacieuse, associer à toute masse m, une fréquence caractéristique f = m·c²/h. D’un point de vue pratique, trois constantes fondamentales de la nature se trouvent impliquées :
La constante de Planck : h = 6,62606954×10⁻³⁴ J·s.
La constante d’Einstein : c = 299 792 458 m·s⁻¹.
La constante d’Avogadro : NA = 6,62606954×10⁻³⁴ J·s.
Cette dernière constante est nécessaire pour convertir les poids moléculaires (PM) généralement exprimés en daltons (Da) en kilogrammes (kg) : 1000× NA×(m/kg) = (PM/Da). Tous calculs faits, on trouve la relation suivante : f/Hz = 2,252342926840606×10²³×(PM/Da). Comme les fréquences obtenues sont extrêmement élevées, prenons le logarithme binaire de cette relation :
Log₂(f/Hz) = 76 + 1,575772681758021×Log₂(PM/Da)
L’oubli du facteur 76 nous permet de bénéficier de l’invariance d’échelle par octaves caractérisant les ondes sonores pour arriver à la relation finale :
f/Hz = 2,980951043045587×(PM/Da)
Une telle procédure pose évidemment le problème de la conversion entre des fréquences d’ondes de matière (> 10²⁴ Hz) et des fréquences d’ondes sonores (< 20 kHz). S’il n’y avait pas la sixième dimension de conscience, on pourrait douter de la validité de cette transposition de 76 octaves. Seulement voilà, la dimension de conscience existe bel et bien et permet, au minimum de tester cette relation fréquence/masse comme une hypothèse de travail qui reste à valider par l’expérience. Car, une telle approche est un tout premier pas permettant d’unifier science (physique quantique et théorie de la relativité) et art musical. Ce serait donc idiot de s’interdire ce genre de transformation qui permet de transformer tout ensemble de particules matérielles en un morceau de musique, grâce à des lois ancrées dans la physique moderne. Si l’on prend ainsi le cas de la molécule d’eau H₂O, on trouve avec PM = 18,015268 Da, une fréquence f = 53,702632 Hz. Sachant que la musique occidentale se réfère à un diapason La3 = 440 Hz, on constate en transposant de 3 octaves vers le haut que l’on pourrait prendre comme diapason la fréquence f(H₂O) = 53,702632×8 = 429,621 Hz. Utiliser un tel diapason serait logique dans la mesure où un corps humain est composé, en nombre de molécules (mol%) de 96 mol% d’eau pour une femme et de 97 mol% d’eau pour un homme [4]. On devrait ainsi s’attendre à des effets particuliers sur des êtres vivants de morceaux de musique utilisant un tel diapason. C’est ainsi que plusieurs morceaux de musique ont été générés et sont disponibles au téléchargement pour ceux qui veulent les tester dans un cadre thérapeutique [5]. Parmi ces morceaux, il y en a aussi qui ont été composés avec des fréquences calculées à partir d’une liste de molécules. Ainsi, le morceau intitulé « Canon du bonheur » a été généré à partir des molécules suivantes transformées en notes de musique au cent près : oxytocine (1007,187 Da), dopamine (153,181 Da), sérotonine (176,2151 Da), endorphine-α (1745,97 Da), endorphine-β (3465,03 Da), endorphine-γ (1859,10434 Da), L-Dopa (197, 19 Da), néoendorphine-α (1228,464 Da), néoendorphine-β (1100,289 Da), androsténol (274,448 Da), α-méthyl-phényl-éthylamine (135,2062 Da) et phényl-éthylamine (121,1796 Da). On y retrouve toutes les molécules générées par le corps humain quand il se trouve dans un état euphorique et de bien-être. A partir des notes correspondantes référencées au diapason de la molécule d’eau pour les fréquences, un musicien peut trouver le mode musical qui correspond le mieux au morceau à composer et qui permettra de l’harmoniser pour en faire une œuvre musicale originale.
Reste à faire des tests, pour ceux qui le souhaitent, sur de vrais malades avec comme public prioritaire tous ceux que la médecine moderne considère comme inguérissables. Au pire, il ne se passera rien et ils auront simplement écouté de la musique. Au mieux, leur eau corporelle va réagir à la musique et l’on pourra enregistrer une réponse physiologique, voire même, dans le meilleur des cas, initier un processus de guérison.
Bienvenue dans la médecine du futur…
Références et liens :
[1] Marc Henry, « L’eau et la physique quantique », Éditions Dangles (2016).
[2] Marc Henry, « L’homéopathie : la physique et la chimie des hautes dilutions », Éditions Natur’Eau Quant (2019).
[3] Marc Henry, « Consciousness, Information, Electromagnetism and Water”, Substantia, Vol. 4 – n°1, pp. 23-36, March (2020).
[4] Marc Henry, « L’eau morphogénique », Éditions Dangles (2020).
[5] Musiques (429,62 Hz) :
https://tommijacks.bandcamp.com/album/eau-42962-hz-97-mol. Pour bénéficier de la gratuité, proposez un prix de € 0 dans la case demandant de proposer un prix.
Natur’Eau Quant
https://marchenry.org/
De gros problèmes de santé imposent à Marc Henry d’annuler ses prestations en direct, ce qui prive son association de rentrées financières. Pour l’aider à continuer son travail magnifique sur l’eau, à distance, merci de faire un don à son association
https://www.helloasso.com/associations/natur-eau-quant
et bien sûr, achetez et offrez l’un de ses nombreux ouvrages