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RECHERCHE PHARMACOLOGIQUE – DYNHOM

par Michel Van Wassenhoen

( Docteur Directeur DynHom)

Spécialité de l'article : Généraliste

Parution du 13/03/2025 pour la lettre n° 115

L'un des principaux obstacles à l'acceptation du système homéopathique est le médicament homéopathique potentialisé. Il s'agit d'une question primordiale qui doit être abordée avant même de prendre en considération les résultats de la recherche clinique. Les médicaments homéopathiques sont de la matière, une structure et un signal. C'est le contrôle de plausibilité de l'homéopathie.

NATURE DES MÉDICAMENTS HOMÉOPATHIQUES (COMPOSITION)

L'homéopathie est controversée et fait l'objet de vifs débats. Les conclusions des revues systématiques des essais contrôlés randomisés sur l'homéopathie varient de « comparable à la médecine conventionnelle » à « aucune preuve d'effets au-delà du placebo ». On prétend que l'homéopathie est en contradiction avec les lois scientifiques et que les homéopathes rejettent la perspective naturaliste, mais aucune preuve n'a été citée.
Un article intitulé « Plausibilité et preuves », dit : nous sommes des médecins homéopathes et des chercheurs qui ne rejettent pas la perspective scientifique ; nous pensons que l'examen des croyances antérieures qui sous-tendent cette impasse persistante peut faire avancer le débat. L’interprétation d'un même ensemble de preuves peuvent diverger. L'incrédulité à l'égard de l'homéopathie trouve son origine dans la perception de l'invraisemblance de tout mécanisme d'action concevable. En utilisant l'analogie des mots croisés, nous constatons que le biais de plausibilité entrave l'évaluation des preuves cliniques. Les déclarations générales sur l'impossibilité scientifique de l'homéopathie sont elles-mêmes non scientifiques : les déclarations scientifiques doivent être précises et vérifiables. Il existe de plus en plus de preuves que les préparations homéopathiques peuvent exercer des effets biologiques.

La prise en compte de ces recherches permettrait de réduire l'influence des croyances a priori sur l'évaluation des preuves issues de l'examen systématique. Le premier problème de plausibilité est lié aux médicaments homéopathiques potentialisés (dilution+dynamisation). Un argument couramment utilisé est le « nombre d'Avogadro ». Les médicaments homéopathiques sont tellement dilués qu'ils sont «vides » et que seul un effet « placebo » peut être observé.
Mais les médicaments homéopathiques sont-ils vides ?
Nous démontrons que la signature spécifique (structure) des médicaments homéopathiques dans l’eau – même en hautes dilutions (UHD) – peut être identifiée à l’aide de mesures des temps de relaxation RMN. Les solutions homéopathiques ne peuvent être considérées comme de l’eau pure.
La présence de nanoparticules dans tous les médicaments homéopathiques en solution est définitivement établie. Les potentialisations homéopathiques ne peuvent être considérées comme de simples dilutions.
Après lyophilisation, la structure cristalline de la matière sèche récoltée est spécifique de la matière première utilisée dans la fabrication d’un médicament homéopathique également en UHD.

La composition moléculaire des lyophilisats de tous les médicaments homéopathiques est similaire, mais avec des proportions spécifiques de carbonates et de silicates pour chaque médicament. Le bicarbonate de sodium en est l’élément principal.
Nous avons ainsi défini la nature particulaire et moléculaire qui permettent de stabiliser des potentiels électriques spécifiques pour chaque médicament homéopathique.
C’est ainsi qu’un message structuré électro-photonique existe dans les médicaments homéopathiques liquides et persiste dans les granules imprégnés.
L'individualisation est la clé d'une "pharmacologie dynamique". Des recherches supplémentaires sont encore nécessaires sur ces "systèmes polarisés" mais l'interface entre les médicaments homéopathiques et l'épigénétique a été très bien démontrée par le Professeur Marc Henry auquel nous rendons hommage au cours de cet exposé.
Le mécanisme d’action du médicament homéopathique est bien un effet de régulation épigénétique (freination ou stimulation) spécifique enclenchée par la reconnaissance de l’information polarisée que le médicament homéopathique contient.

Dyn hom

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