Spécialité de l'article : Historique et divers
Parution du 03/07/2025 pour la lettre n° 116
Organisée par l’Association Promotion de la Médecine Homéopathique (APMH) représentée localement par Isabelle et Charles Rossi, Eric Zins et Dominique Eraud, tous membres du CA. La rencontre s’est déroulée les 29, 30, 31 mai et 1 juin 2025 rassemblant une centaine de congressistes.
La journée du jeudi était consacrée à une visite in situ au nord de la palmeraie de Skoura, près de Bassatine, où ont lieu depuis plus de 10 ans des expérimentations homéopathiques. Cette visite est menée par Aziz Yaacoubi, originaire de Skoura, ingénieur en agronomie qui a travaillé notamment sur la problématique de la maladie du Bayoud (champignon s’attaquant aux palmiers dattiers, le plus souvent mortel) et Eric Zins. Un retour d’expérience in situ passionnant, dynamisant les échanges agro-homéopathiques en ouvrant des axes de réflexion, de questionnement, de recherche…
La suite du congrès, plus conventionnelle, s’est déroulée au tissu associatif de Skoura.
La journée du vendredi s’est poursuivie autour de l’homéopathie des plantes et des animaux. Eric Zins, paysan-bio et agro-homéopathe (département français de la Marne) a présenté ses expériences et découvertes au sein de son exploitation (cultures céréales, prairies, élevages bovins, en bio depuis 11 ans). Aujourd’hui il n’a plus aucun intrant chimique sur l’exploitation, il soigne plantes et bêtes exclusivement à l’homéopathie et est devenu une référence pour les paysans en quête de ‘faire autrement’. Eric présente notamment ses expériences de revitalisation de parcelles, de gestion des carences du sol, de nanification des adventices à partir de plantules. Il défend une vision holistique de la santé et de l'histoire du sol.
Aziz Yaacoubi, a quant à lui présenté une analyse bibliométrique des publications scientifiques appliquées aux plantes. Il propose à cette occasion une synthèse de 76 études expérimentales publiées entre 1994 et 2023. Cette étude est motivée par les problématiques de plus en plus alarmantes sur les conséquences sanitaires et environnementales résultant de l’agriculture conventionnelle. Il considère l’homéopathie comme une alternative écologique et économique pertinente pour relever ce défi, initié par Dr. V.D. Kaviraj. Cette étude met en évidence des résultats probants en la matière, sur des problématiques très diversifiées (métaux lourds, insectes, champignons, maladies, ravageurs, sel, stress climatique…).
Camilla Sherr a présenté ses recherches en Tanzanie. Elle propose différentes approches thérapeutiques : par
l’ennemi, l’ami, la supplémentation, l’isopathie, une approche du « semblable qui attire le semblable », en utilisant les connaissances existantes en traitements conventionnels et les convertir en remèdes homéopathiques » ou encore « Traiter les plantes comme des Humains ». De nombreuses façons de proposer un traitement homéopathique, une invitation à l’expérimentation et à la recherche, accessible au plus grand nombre.
Les traitements homéopathiques des sols et des plantes manquent encore de références, de matière médicale, de bibliographie. Chaque intervenant invite à partager ses découvertes et ses résultats afin d’alimenter un savoir commun. Les expériences sont très prometteuses. Aziz Yaacoubi met l’accent sur la nécessité de garder une zone témoin sans intervention afin de pouvoir évaluer l’impact d’un traitement.
L’après-midi s’est poursuivie avec l’intervention de deux vétérinaires-homéopathes, Patrice Rouchossé et Didier Notre Dame, qui ont proposé chacun une présentation très personnelle.
Patrice Rouchossé nous propose une allégorie de l’homéopathie, qu’il considère comme "plus qu'une médecine, une histoire du monde". Voyage à travers la genèse de l’univers, minéral, cellulaire, végétal, animal, avec quelques ponts esquissés entre mythologie et matière médicale, caractère et remède, une approche philosophique, poétique, fascinante qui se nourrit et nourrit à son tour l’histoire du monde, l’inconscient collectif. Un voyage à travers les remèdes qui nous racontent notre propre histoire… collective et individuelle.
Didier Notre Dame nous présente deux cas cliniques concernant des chats, Maya et Berlioz, guéris par Arsenicum Album. Des symptômes significatifs, notamment au niveau du rythme dans la journée, de la recherche de chaleur, de léchage compulsif orientent le remède adapté. La révélation d’un symptôme de « langue noire » le lendemain de la vaccination de Berlioz va entériner le traitement. La présentation se poursuit sur l’essence et les caractéristiques d’Arsenicum Album dans la matière médicale puis dans sa pratique en cabinet vétérinaire, présentant de nombreuses similitudes entre le chat et l’arsenic.
La journée s’achève par une table ronde sur l’homéopathie et le monde animal.
Samedi 31 mai, journée consacrée à la médecine humaine.
La journée commence joyeusement avec Muhammed Rafeeque, chirurgien homéopathe venu présenter des conseils pratiques cliniques et la pratique de l’homéopathie en Inde.
Il commence sa conférence en témoignant l’importance d’établir une relation de qualité avec son patient, qui passe par la connaissance de ce qu’il est (prénom, profession, situation familiale, antécédents…). Ces éléments constituent la base nécessaire de l’alliance thérapeutique. Les échanges ou réflexions qui peuvent paraître éloignés de la consultation sont précieux et permettent souvent d’aiguiller vers un remède adéquat. Plusieurs exemples, une présentation des concomitants ainsi qu’un tropisme des remèdes sont partagés, sans oublier la piste des nosodes. Il fait part de grandes réussites constatées dans la gestion du mal de l’alpinisme (Coca 200), d’alopécie et nombre d’autres maux. Dr Rafeeque termine sa présentation sur la place et le contexte politique de l’homéopathie en Inde, soutenue et développée par les autorités via le ‘Ministry of AYUSH’. Les missions sont d’Améliorer la qualité de l'enseignement homéopathique, de sa pratique, des institutions, des registres. Les lois, règles, réglementations et directives sont gérées par la Commission Nationale d'Homéopathie (CNH ; https://nch.org.in/). Aujourd’hui l’homéopathie est en plein essor en Inde avec des facultés de médecines homéopathiques, des hôpitaux, centres de santé, de nombreux projets pour des publics et des problématiques spécifiques sont mis en place et suivis par le gouvernement. Une dynamique prometteuse et exemplaire spécifiquement indienne.
Ghislaine Ghallab, ophtalmologue-homéopathe à Casablanca prend la suite et propose une présentation de l’homéopathie au Maroc. Créatrice de l’Homéopathie Uniciste Maroc Association (HUMA), elle diffuse ses connaissances homéopathiques et contribue ainsi à faire rayonner et à dynamiser l’usage de l’homéopathie dans le pays. Elle présente trois cas cliniques marquants de sa pratique avec une anamnèse très fournie et détaillée : une femme avec des douleurs abdominales chroniques, un jeune garçon qui perd la vue brutalement et une fillette de 5 ans hospitalisée pour une hépatite B fulminante. Trois exemples très documentés, où elle mène un travail d’investigation avec finesse et attention, et présente son protocole, son analyse et ses résultats. Un travail méticuleux, sur mesure.
C’est Sylvie de Sigalony, sage-femme homéopathe qui termine la matinée en nous faisant part d’un cas clinique dans un centre de santé à Cotonou au Bénin. Après avoir décrit le contexte, elle nous fait part de l’accouchement de Pamela, une jeune femme béninoise venue accoucher au centre de santé. Cette présentation met en
lumière l’importance de la culture, des croyances, de la symbolique quelques fois bien éloignées de nos propres considérations et qui sont pourtant fondamentales dans la prise en charge d’un patient. C’est avec peu de moyens (armoire à homéopathie, répertoire de Kent et feuille de répertorisation du CLH), avec Gisèle Kiti, sage-femme béninoise, qui permet une compréhension culturelle et une observation fine et attentive qu’elles vont réussir à venir secourir la jeune femme avec Opium. « Le remède doit épouser les symptômes », Sylvie de Sigalony nous propose une présentation des symptômes d’Opium et du parallèle avec le cas clinique de Pamela. Un témoignage profondément humain et plein d’humilité.
Un repas sous forme de buffet est proposé par Abdou de Bassatines qui régale délicieusement les convives pendant ces trois jours de rencontre.
Les conférences reprennent à 14h avec une présentation magistrale de Jeremy Sherr, homéopathe exerçant en Tanzanie, qui propose un paragraphe de sa nouvelle traduction adaptative de l’Organon et de ses relations avec les gaz nobles et la Kaballah : « Krypton et Organon dans le continuum sain de la vie... ». Une approche spirituelle, abordant l’évolution et le sens de la vie, se nourrissant des écrits d’Hahnemann en ajustant chaque mot à une vibration particulière dans l’exercice de la transcription, pour un accès plus authentique et essentiel au message créateur du fondateur de l’homéopathie. Un hommage touchant et inspirant, amenant une universalité transcendante à la réalité pratique de l’homéopathie. Cet exposé retentit comme un gong universel, unifiant, profond.
Pour boucler la journée sur le thème de l’humain, ce sont William Suerinck, psychiatre et Fred Rerolle, gériatre, tous deux homéopathes, qui proposent de partager leurs expériences sur la place de l’homéopathie dans une approche intégrative en psychiatrie auprès des personnes âgées. William Suerinck nous présente plusieurs cas cliniques, de personnes résidentes en Etablissement d’Hébergement de Personnes Agés Dépendantes (EHPAD). Il nous présente les conditions d’interventions, son anamnèse, les observations, l’analyse, l’enquête, la répertorisation, la prescription, les ajustements, le suivi. Ces consultations à la demande de l’établissement d’accueil sont vécues comme un complément au suivi déjà en place, il résulte du libre choix du patient, de leur famille et en accord avec les médecins de l’établissement. Un bel exemple d’alliance thérapeutique, soutenante et accompagnatrice.
Fred Rérolle nous fait part de son
expérience en tant que gériatre-homéopathe dans le même type d’établissement, mais étant l’unique médecin, il a la liberté de prescription et de suivi. Il utilise l’homéopathie surtout dans les crises aigües (problèmes : digestion, urologie, corticoïde...), l’essentiel de ses prescriptions sont : Antimonium Tartaricum, Arnica, Symphytum, Ignatia, Euphrasia, Apis, Bryonia, Arsenicum, Hyoscyamus, Stramonium… Il nous propose un zoom sur la traversée du Covid dans son établissement avec Carboneum Oxygenisatum qui a été l’un de ses meilleurs alliés thérapeutiques. Une présentation détaillée de ce remède mis en évidence et plébiscité par André Saine, homéopathe au Canada. Ce traitement présente également des améliorations dans le cas de Covid long.
Une journée enrichissante et nourrissante profondément humaine s’achève. Le lendemain, dimanche 1 juin, est une journée consacrée à la recherche et à l’enseignement de l’homéopathie.
C’est Michel Van Wassenhoven qui ouvre le bal de cette dernière journée. Médecin homéopathe belge, directeur du groupe de recherche DynHom. Il commence sa présentation avec un hommage au professeur Marc Henry, pour la personne et les recherches qu’il a menées et diffusées. Un compagnon de route disparu il y a quelques mois qui affirmait « L’eau, c’est la Vie ». Poursuivant depuis plus de 10 ans des investigations scientifiques autour du médicament homéopathique, Michel Van Wassenhoven présente ces travaux, et notamment une grande avancée, une expérience utilisant la Nuclear Magnetic Resonnance (NMR) qui met en évidence la signature spécifique des médicaments homéopathiques. Les solutions homéopathiques ne peuvent donc pas être considérées comme de l'eau pure. Ces résultats sont vérifiés, confirmés et publiés par d’autres équipes dans le monde. Le programme de recherche du laboratoire indépendant DynHom consiste à chercher comment ça marche. Il nous présente toute une série d’expérimentation avec différentes techniques (HPLC-UV/ATP, NTA, Lyoph, SEM, EDX, FTIR, pH, RAMAN, EPA, Pharmaco…). Ces recherches mettent en évidence un message structuré électrophotonique dans les médicaments homéopathiques (forme liquide et granulés imprégnés). Les recherches s’orientent désormais vers une notion de mise en phase et d’énergie de la physique quantique, une sorte de cohérence de phase grâce à laquelle chaque unité danse harmonieusement. DynHom souhaite développer ses recherches sur des systèmes polarisés avec une approche quantique et l’épigénétique. Le rapporteur
conclut sa présentation en soulignant que DynHom est un laboratoire indépendant, ne fonctionnant que sur fonds propres, et appelle aux dons pour soutenir ces recherches (https://www.homeopathie-unio.be/la-recherche/dynhom/ ). Et pour en savoir plus sur le travail de Marc Henry: https://www.natureauquant.com/ .
C’est Rémi Hospitel qui prend la suite, avec son exposé intitulé « le règne minéral en homéopathie à partir de la classification des éléments de Jan Scholten ». Une approche qui prend comme référence le tableau périodique des éléments chimiques, faisant part de 6 séries (hydrogène, carbone, silice, fer, argent, lanthanides, or, actinides) réparties en 18 colonnes, correspondant à 18 étapes. Le concept fait état d’une progression de l’étape 1 à 10, période où ils se sentent incapables de réussir sans soutien, une apogée aux colonnes 10, 11, celles du succès et de l’équilibre, puis un déclin progressif jusqu’à la colonne 18 étapes durant lesquelles ils luttent pour préserver leur réussite, pour aboutir à la fin à l’échec et au renoncement à tout espoir de succès. Il décrit succinctement mais efficacement les différentes étapes correspondantes à chaque élément pour chacune des séries. Plusieurs cas cliniques viennent étayer cette approche fondamentalement liée à l’évolution individuelle et collective.
L’après-midi permet d’aborder un sujet préoccupant de ces dernières décennies : l’autisme et l’homéopathie.
Jean Lacombe, homéopathe canadien nous propose de partager ses découvertes dans le cadre de la prise en charge d’enfants autistes en Corée du Sud notamment. Il commence sa présentation par « Vous êtes tous des petits Bouddhas ». Il raconte comment il a été sollicité pour soutenir nombre de familles coréennes dans le cadre de la prise en charge de l’autisme chez les enfants. Un constat affolant de l’évolution du nombre de personnes touchées par cette maladie, un développement exponentiel, notamment aux Etats Unis, où aujourd’hui 1 enfant sur 31 est concerné alors que dans les années 60, il y en avait 1 sur 10 000. Des hypothèses sur les causes de ce développement exponentiel constaté sont la qualité de l’environnement (avec entre autres le développement des réseaux électro-magnétiques), la nourriture, la multiplication des vaccins. C’est cette dernière, partagée avec d’autres personnes en réflexion sur le sujet comme Tinus Smits, Robert Kennedy Jr ou encore Isaac Golden qui est la plus évidente selon Jean Lacombe, souvent validée par les témoignages des parents faisant part
de changements survenus à la suite de l’injection de vaccins, la corrélation entre le taux d’enfants atteints d’autisme et la multiplication des vaccins, et enfin les résultats après traitement en détoxification des vaccins par le traitement homéopathique. L’autisme se caractérise par des difficultés à la communication, des troubles du comportement qui se traduisent par un accès à la sociabilité très compliqué. Il présente 25 remèdes essentiels dont les isothérapiques ROR et DTP qu’il découvre grâce au travail d’Isaac Gordon (Australie). Les résultats sont très significatifs, et multiplient par deux les effets bénéfiques du remède proposé. Il nous fait part de ses prescriptions 3-3-3 qu’il a mise en place afin de pallier aux difficultés liées à la distance qui le sépare de ses patients. Les familles sont sollicitées et parties prenantes, elles établissent une feuille de suivi détaillée et d’observations qui permet de voir l’évolution de leurs enfants. A l’occasion de toutes ces rencontres, il comprend combien ces enfants touchés par ce trouble ont une capacité aigüe à lire les états psychiques de leurs proches… Et qu’une prise en charge complète passe également par une alimentation saine, des vitamines (B notamment), et des relations affectives épanouies. Un témoignage touchant et authentique qui questionne sur nos sociétés.
Pour prolonger le sujet sur l’autisme, Navneet Bidani, homéopathe-psychologue, nous partage sa pratique quotidienne, basée en Inde. Il nous propose une visite enthousiaste de son cabinet (en photos) présentant les divers équipements stimulants destinés aux enfants reçus. Après une description des symptômes liés aux troubles autistiques (TSA), avec notamment l’autostimulation et un rapide tour d’horizon des causes (environnement, vaccins, mercure, alimentation…), il s’intéresse aux déclencheurs : aux troubles émotionnels que la maman a pu traverser pendant la grossesse. Sa démarche est de chercher le remède dont la mère avait besoin pendant sa grossesse : ce remède correspond à ce dont l’enfant présentant des troubles autistiques a besoin maintenant. Au niveau des résultats après traitement, il constate une amélioration des problèmes sensoriels (diminution de l’hyper/hypo-activité), du contact visuel, exécution des consignes, communication. Une clé partagée sur le Similimum. Il commence à faire des recherches sur l’état émotionnel du papa lors de la gestation, et constate des échos prometteurs dans cette démarche…
Le cycle de conférences s’achève pour laisser place à un moment plus solennel, de remerciements et de
récompenses. Isabelle Rossi nous raconte l’histoire de l’homéopathie à Lyon, jusqu’à celle d’Alain Horvilleur. Elle rend hommage à l’homme qu’il était, pour ses recherches, à l’énergie et à l’attention qu’il a consacré à soutenir son prochain et même quelques fois à sauver. Mue par ce désir de partager et de propager cette médecine qui a sauvé son fils, Isabelle continue de rassembler, de fédérer, de promouvoir cette discipline avec son énergie, ses moyens. C’est avec émotion, entourée de William Suerinck et de Patrice Rouchossé qu’elle remet le prix Horvilleur 2024 à Jean Lacombe pour son Livre Autisme et Homéopathie et Didier Lustig qui a eu le prix 2023 pour son livre Les Actinides, reçoit le trophée Horvilleur pour un an… Isabelle en profite pour émettre le souhait qu’un jour ce prix soit remis à une femme.
Ce congrès a bénéficié des services de deux femmes engagées, Laurence Deruy et d’Amina Chbani qui ont su relever le défi de traduire les échanges en temps réels pour un public francophone et anglophone.
L’équipe de Ouarzazate a filmé en temps réel une bonne partie de l’évènement, permettant de le propager et de le diffuser en temps réel et en replay. Quelques interviews et moments choisis sont d’ailleurs disponibles sur le site de l’APMH.
Et enfin les congressistes qui se sont mobilisés depuis les 4 coins du monde pour venir jusqu’à Skoura, aux portes du désert marocain parler d’homéopathie, d’expériences et de perspectives. Une grande partie du public est venue du Maroc, montrant combien cette discipline suscite de l’intérêt sur le territoire.
En fin d’après-midi, le congrès va déserter ce lieu dédié aux conférences pour se terminer sur une note festive aux tonalités berbères. Une ambiance rythmée, joyeuse, dynamique sous les étoiles de Skoura qui laisse présager d’autres rencontres sous d’autres cieux…
Comme un arbre essaime ses graines au grès des vents, puissent ces petites étincelles d’homéopathie prendre racine et grandir autour de chaque participant.
Nous remercions pour leur soutien les laboratoires Bottu de Casablanca, le Salon d’Alep, SAO de Ouarzazate ainsi que les maisons d’hôtes, Dar D’Mana, 123 Soleil, Chez Laila, Bassatine, Riad Aman et d’autres encore
Les intervenants ont la générosité de partager les supports de leurs conférences, les Powers points des différentes interventions sont accessibles en français ici :
https://www.apmh.asso.fr/pages/supports_orateurs
ou en anglais ici :
https://www.apmh.asso.fr/pages/congress_slides